Nike Air Max 1 décomposée : anatomie des empiècements

Anatomie Nike Air Max 1

Credits photo : WhenToCop?

1987 marque un nouveau tournant dans l’univers de la sneaker avec l’arrivée de la Nike Air Max 1. Le designer Tinker Hatfield a su sortir son épingle du jeu en proposant une toute nouvelle paire qui laisse apparaître l’unité Air Sole au niveau de la midsole. Cette proposition à la fois moderne et avant-gardiste lui est venue après avoir contemplé le centre Georges-Pompidou et son architecture qui laisse apparaître l’intérieur. Découvrez les différents empiècements qui constituent cette itération remarquable et dont en ne se lasse pas, même après trois décennies !

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Les différents empiècements de la Air Max 1

La toebox

La “boîte à orteils” de la sneaker correspond à l’empiècement sur le upper qui protège le dessus du pied. Sur la Air Max 1, celle-ci peut adopter différentes apparences avec des matériaux et colorways différents selon les éditions.

Le mudguard

Relié à la toebox, le mudguard est un élément important qui a tendance à diriger le colorway de la Air Max 1. En effet, cet élément parfois orné d’un mini-swoosh se pare de textures et nuances diverses selon les versions et collaborations. Sur le pack Patta x Air Max 1 “The Wave”, le mudguard prend la forme d’une vague, se plaçant ainsi comme l’une des Air Max les plus iconiques de ces dernières années.

Les oeillets

Reconnaissables facilement, les oeillets sont situés sur l’empeigne et permettent de faire passer les lacets pour un maintien optimal du pied. Ils peuvent être colorés, en corde ou autres matériaux pour apporter plus de caractère au design.

La tongue

Littéralement, on peut traduire la tongue par la “langue” de la paire, c’est à dire la languette où reposent les lacets. Celle-ci affiche le branding ou le co-branding quand la paire est réalisée en partenariat avec des artistes, des designers ou d’autres marques.

Le heel

Le heel qui se traduit par “talon” se caractérise par le renfort arrière de la paire. En général, celui-ci possède l’inscription “Nike Air” mais peut varier selon les collaborations ou lors de releases de paires spéciales.

Le quarter panel

Rattaché aux oeillets et à l’empiècement du heel, le quarter panel est un élément imposant de l’empeigne qui contraste avec le célèbre swoosh.

La midsole

Élément phare de la Air Max 1, la midsole est la semelle intermédiaire qui sépare l’empeigne de l’outsole et qui renferme la fameuse bulle d’air apparente, également nommée “Air Unit”. Elle est parfois vieillie, colorée ou personnalisée.

L’Air Unit

La Air Max 1 est la première paire a avoir été dotée d’une unité d’air apparente. Cette technologie particulière est ce qui caractérise l’originalité de la sneaker et qui plaît tant aux sneakerheads, même 36 ans après sa première apparition. Elle permet un grand confort couplé à un très bon amorti grâce à l’air pressurisé compris à l’intérieur de la semelle.

L’outsole

La partie qui est en contact direct avec le sol s’appelle l’oustole, autrement dit la semelle extérieure. Celle-ci peut être colorée et assortie au design, customisée ou encore être une gumsole.

Les insoles

Ce sont les semelles intérieures de la paire qui sont amovibles. Elles possèdent le branding et sont en générales customisées lors de collaborations.

Le swoosh

Le swoosh est le logo virgule de Nike qui représente une aile de la déesse grecque Niké. Sur la Air Max 1, celui-ci est présent de chaque côté de la sneaker mais également sur le branding de la tongue et sur le heel. Les swooshes latéraux peuvent prendre différentes allures selon le design de la paire, avec des matériaux et colorways inédits.

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